QiGa 0002 867
Les cycles dans l’espace-temps en graphologie quantique
En complément de ce que nous avons vu dans le précédent billet, voici :
Les cinq éléments version de base

Ce domaine de pensée très éloigné de nos paradigmes occidentaux bien-pensants peut être déroutant aux premiers abords…
Pourquoi se référer aux Cinq Éléments Tao?
Nous verrons que les cinq éléments facilitent in fine les interprétations en graphologie quantique. Il est donc indispensable de connaître trois des grands principes synthétisés et adaptés du Tao :
I Tout est cycIlique
II. Tout se transforme
III. Tout est interconnecté
Il est bien évident que cette présentation est focalisée sur les applications spécifiques que sont les interprétations d’analyses déduites des théories de la graphologie quantique.
Tout est cyclique :
Dans la vie courante on parle de cycle : jour-nuit. La journée elle-même a son propre cycle : matin, midi, après-midi, soir… au bout de vingt-quatre heures ça se renouvelle pour s’inscrire dans le cadre d’une année qui elle-même, a son cycle ponctué sous forme de saisons.
En graphologie quantique le cycle fondamental est délimité par le tracé graphique qui commence lorsque la plume touche le papier pour s’achever à la levée de la plume.
Exemple extrait de la carte postale adressée à Maria par un Poilu :

En théorie le cycle de base est le ‘mot’(qui s’écrit d’un ‘seul trait’), mais il arrive que le scripteur lève la plume avant d’avoir achevé le mot :
‘adjudant’ est écrit : adj ud ant.
Pour ce mot tel qu’il est ici tracé, on compte trois cycles :
adj
ud
ant
Le mot : arrivée dénombre deux cycles :
arriv
ée
Pour l’instant, arrêtons-nous sur ce constat. Mais rassurez-vous, nous aurons l’occasion de développer et interpréter ces types de cycles dits «cycles scrabblés »
Tout se transforme
Par exemple :
L’écriture subit des micro-transformations suivant le moment et l’objet de l’écriture, ainsi que nous l'avons constaté pour les hampes des l, h, k dans le billet précédent (QiGa0001).
Tout est interconnecté
Les arythmies graphiques sont souvent les conséquences d’interconnections parasitées ; par exemple, un « mot amorce » qui ravive inconsciemment une émotion, alors qu’on est en train d’écrire, ce qui va aussitôt provoquer des micro-gestes graphiques involontaires.
À suivre…